À partir de personnages et de faits réels, l'auteur a imaginé une formidable épopée: celle d'un chevalier français, pauvre mais plein d'audace, le jeune Ragastens qui, après s'être mis au service de César Borgia, deviendra son rival et son ennemi le plus acharné. Pour la belle Béatrix, surnommée Primevère, qui hait ouvertement le tout-puissant seigneur romain mais adore en secret le vaillant petit français dont rêve aussi Lucrèce Borgia, l'Italie sera mise à feu et à sang. Le courage et l'astuce de Ragastens provoqueront le dépit et la chute des Borgia. La justice, le droit et la légiitimité triompheront. Ainsi que l'amour de Béatrix et Ragastens, sous le regard complice d'un peintre qui se fera un prénom, Raphaël, et d'un écrivain que le pouvoir inspire, Machiavel...
Borgia ! (Edition Intégrale - Version Entièrement Illustrée)
* Inclus une courte biographie de Michel Zévaco
Descriptif : À partir de personnages et de faits réels, l'auteur a imaginé une formidable épopée: celle d'un chevalier français, pauvre mais plein d'audace, le jeune Ragastens qui, après s'être mis au service de César Borgia, deviendra son rival et son ennemi le plus acharné. Pour la belle Béatrix, surnommée Primevère, qui hait ouvertement le tout-puissant seigneur romain mais adore en secret le vaillant petit français dont rêve aussi Lucrèce Borgia, l'Italie sera mise à feu et à sang. Le courage et l'astuce de Ragastens provoqueront le dépit et la chute des Borgia. La justice, le droit et la légitimité triompheront. Ainsi que l'amour de Béatrix et Ragastens, sous le regard complice d'un peintre qui se fera un prénom, Raphaël, et d'un écrivain que le pouvoir inspire, Machiavel...
Extrait : Le chevalier était surtout une nature aventureuse. Généreux, il partageait ce qu'il avait - quand il avait ! - avec de plus pauvres que lui. Il défendait les faibles avec sa bonne rapière. Il n'eût pas commis une mauvaise action. Mais, sans ressources, n'ayant pour guide que son robuste appétit d'aventures, jeté d'ailleurs dans un milieu d'une morale infiniment élastique, il vivait comme il pouvait, prenait son bien où il le trouvait...
Si le roi Louis X se rend à Montfaucon pour assister à une pendaison, Philippe et Gautier d'Aulnay y accourent avec leur ami Jean Buridan pour accuser publiquement de meurtre et de vol le premier ministre Enguerrand de Marigny et le provoquer en duel. Dans le tumulte qui s'ensuit, le futur pendu s'évade, les chevaux de la reine Marguerite de Bourgogne s'emballent et Buridan les arrête. Sa bravoure attire sur lui l'attention de la reine qui ordonne à sa suivante Mabel de le faire venir à la tour de Nesle. Oh! l'invitation est anonyme et le bruit court en ville qu'aucun de ceux qui franchissent le seuil de la tour n'en est jamais ressorti. Ce n'est d'ailleurs pas cela qui empêche Buridan d'arriver à l'heure au rendez-vous, heureusement pour les frères d'Aulnay, invités eux aussi. Buridan a le duel mais aussi l'amour en tête : il s'apprête à demander Myrtille en mariage. Or, le même soir, la jeune fille est arrêtée comme sorcière. Qui s'acharne contre elle, et pourquoi?
Henri était parti de Paris en pleurant, et la mort dans l'âme. Mais lorsqu'il eut trouvé dans l'hôtel de ville de Chartres une députation de bourgeois venus pour le saluer, lorsqu'il eut vu l'installation que lui avait rapidement aménagée Cheverni, lorsqu'il eut enfin passé en revue les vieux et solides reîtres de Crillon, il commença à se dire que le métier de roi en exil ne serait peut-être pas trop déplaisan
Passavant la lâcha, recula, la contempla, et enfin retomba dans le même étonnement que tout à l'heure. Mais, cette fois, il se disait : la ressemblance est prodigieuse... j'aurais juré... et ce n'est pas elle !
Ce deuxième tome va peu à peu dénouer l'écheveau habilement noué par l'auteur dans Triboulet. Trois personnes, enlevées à leurs parents dans leur tendre enfance, vont voir leur destin s'entrecroiser et finalement se réunir après bien des intrigues et des rebondissements. De Paris à Fontainebleau, puis Rambouillet, un beau voyage au coeur des intrigues de la cour des Valois, un suspense emplis d'émotion.
Nous sommes en 1573. Jean de Kervilliers, devenu monseigneur l'évêque prince Farnèse, fait arrêter Léonore, sa maîtresse, fille du baron de Montaigues, supplicié pendant la Saint Barthélémy. Alors que le bourreau lui passe la corde au coup, elle accouche d'une petite fille. Graciée par le Prévôt, elle est emmenée sans connaissance vers la prison. Devant les yeux du prince Farnèse torturé par la situation, le voilà père et cependant homme d'église, la petite Violette est emportée par maître Claude, le bourreau...
La suite du volume IX, La Fin de Pardaillan, et la fin de ce cycle majeur dans l'oeuvre de Zévaco.
Paris, 1614. Louis XIII n'est qu'un jeune garçon de quatorze ans. La reine mère Marie de Médicis est régente et les Concini abusent de sa faiblesse pour usurper le pouvoir et piller le trésor royal. Paris gronde. C'est dans ce contexte que le chevalier de Pardaillan est venu aider son fils pour retrouver sa petite-fille, née il y a cinq ans et enlevée quelques mois après à ses parents, Jehan de Pardaillaàn et Bertille de Saugis, probablement sur l'ordre de Fausta dont la vengeance s'est ainsi exercée sur son ancien adversaire. Au cours de leurs recherches, les Pardaillan sont aidés d'un jeune cousin, Odet de Valvert, que le chevalier aime comme son fils. Lorsque Jehan est rappelé auprès de sa femme malade, c'est Odet qui devient le meilleur auxiliaire de Pardaillan. Or, Odet est passionnément épris d'une jeune fille pauvre, Brin de Muguet, en réalité fille naturelle de Concini et de Marie de Médicis, reine de France.
Jeanne Poisson se promène à la limite des jardins de Versailles un jour de chasse royale, en 1744. Elle y rencontre Damiens et le chevalier d'Assas qui interviennent pour la protéger contre le comte du Barry. Elle y rencontre aussi le Roi, Louis XV, à qui elle demande la grâce du jeune cerf qui devait être sacrifié. La haine s'installe dans le coeur de du Barry, l'amour dans celui des quatre autres personnages. Dans la même journée, elle découvre sa véritable origine, grâce à Armand de Tournehem, son père biologique. Un méprisable personnage, Henri d'Étioles, entre alors en jeu. Il veut à tout prix épouser Jeanne, quitte à l'intimider et à la menacer. Son manège réussit, elle comprend vite qu'elle n'a pas le choix... Voici l'histoire de celle qui deviendra la marquise de Pompadour, après avoir déjoué bien des pièges et des complots. Le titre de la suite de ce roman : «Le Rival du roi»
La suite de Buridan. La puissance et la fortune attisent l'envie : Enguerrand de Marigny est devenu l'homme à abattre pour le roi Louis X et le comte de Valois, d'autant plus qu'il est aussi un ancien rival de ce dernier. N'a-t-il pas obtenu jadis les faveurs de la reine Marguerite de Bourgogne qui eut de lui une fille nommée Myrtille? Valois a imaginé une vengeance raffinée en faisant accuser Myrtille de sorcellerie. Révéler ensuite au roi qui est son père suffira à perdre Marigny. La reine n'a pas songé à défendre cette enfant de sa jeunesse. Il faudrait parler et cet aveu en amènerait d'autres. Or déjà le roi est sur le point de découvrir le secret de ses orgies à la tour de Nesle. Marguerite aux abois veut sacrifier quiconque est au courant de sa conduite, même ceux qui sont prêts à l'aider...
Nous sommes à Paris en 1609. Henri IV règne, sous la menace permanente des attentats. Le chevalier de Pardaillan, qui n'a pas retrouvé son fils, rencontre un jeune truand, Jehan-le-Brave, en qui il ne tarde pas à reconnaître l'enfant de Fausta. Or, Jehan-le-Brave, qui ignore tout de ses origines, est amoureux de Bertille de Saugis, fille naturelle d'Henri IV. Pour protéger sa bien-aimée et le père de celle-ci, c'est-à-dire le roi, il entre en conflit avec tous ceux qui complotent sa mort: Concini et son épouse, Léonora Galigaï, Aquaviva, le supérieur des jésuites qui a recruté un agent pour ses intentions criminelles, le pauvre Ravaillac. Le chevalier de Pardaillan s'engage dans la lutte aux côtés de son fils, aussi bien pour l'observer que pour protéger le roi. Or, Fausta jadis avait caché à Montmartre un fabuleux trésor que tout le monde convoite, les jésuites, les Concini, et même le ministre du roi Sully. Seule Bertille connaît par hasard le secret de cette cachette, ainsi que le chevalier de Pardaillan...
Le 24 août 1572, jour de la Saint Barthélemy, Jean de Pardaillan et son père Honoré vont permettre à Loïse et à sa mère Jeanne de Piennes de retrouver François de Montmorency après 17 ans de séparation. Catherine de Médicis, ayant persuadé son fils Charles IX de déclencher le massacre des huguenots, Paris se retrouve à feu et à sang. Nos héros vont alors tout tenter pour traverser la ville et fuir la vengeance de Henry de Montmorency, maréchal de Damville et frère de François...
La suite de Pardaillan et Fausta. Au cours de son ambassade à la Cour d'Espagne, Pardaillan est amené à protéger une jeune bohémienne, La Giralda, fiancée d'El Torero, Don César, qui n'est autre que le petit-fils secret et persécuté de Philippe II. Or, Fausta a jeté son dévolu sur El Torero pour mener à bien ses intrigues, et elle bénéficie de l'appui du Grand Inquisiteur Don Espinoza dans ses criminelles manoeuvres. Le chevalier est aidé dans cette lutte par le dévouement absolu d'un pauvre déshérité, le malicieux Chico et sa bien-aimée Juana...
En 1553, Jeanne, fille du seigneur de Piennes, épouse secrètement François, le fils aîné du connétable de Montmorency. La guerre qui s'achève contre Charles Quint sépare le jeune couple. Jeanne se retrouvant seule, met au monde une petite fille Loïse. Mais Henri, frère de François, est amoureux lui aussi de Jeanne et dévoré par la jalousie. Lors du retour de François, Henri fait enlever la petite Loïse par le vieux chevalier Honoré de Pardaillan et oblige Jeanne à s'accuser d'adultère devant son époux qui la quitte effondré... Zévaco, auteur anarchiste et populaire, nous propose, avec ce cycle de dix romans, dans un style alerte, vif et piquant, une histoire pleine d'action et de rebondissements qui ne pourra que plaire, par exemple, aux amoureux de Dumas. Comme dans le cycle des Valois - La Reine Margot, La Dame de Monsoreau et Les Quarante-cinq - la trame historique, très bien mêlée à la fiction, nous fait vivre avec les grands personnages que sont Catherine de Médicis, Charles IX, Henri III, Henri de Guise, etc.
La lettre qu'Armand du Plessis, cardinal de Richelieu, écrit à la reine Anne d'Autriche l'enverrait à l'échafaud si le roi la lisait. Or quelqu'un en apprend l'existence avant que son encre soit sèche et ce quelqu'un-là veut la vie de Richelieu : Annaïs de Lespars, venue d'Anjou pour venger sa mère trahie et assassinée sur ordre du cardinal. Le messager de celui-ci, le moine Corignan, est attaqué par Annaïs et les siens, puis sauvé par le maître d'armes Trencavel que ses cris ont alerté, mais la précieuse missive disparaît. Qui l'a ? Trencavel, pensent Annaïs, le moine et le cardinal. Déduction fausse puisque c'est un ami du jeune maître d'armes qui l'a empochée machinalement - et très réel danger pour Trencavel. La situation se complique : Sans la connaître avant l'échauffourée, Trencavel, tombé amoureux d'Annaïs, cherche désormais à l'aider en toutes circonstances, mais elle voit toujours en lui un ennemi... Coups de théâtre et coups d'épée se succèdent dès lors à un rythme étourdissant, jusqu'au terme fatal de la très authentique conspiration de Chalais qui sert de cadre à cette aventure héroïque commencée en mars 1626 dans la France de Louis XIII.
Laurence, frissonnante et fébrile, avait réveillé Roselys, endormie dans un fauteuil où elle l'avait couchée presque entièrement vêtue, pour qu'elle fût prête le lendemain matin au moment voulu. En un tour de main, elle eut rajusté les vêtements de l'enfant. D'une voix morne, elle répétait : « Fuir ! Il faut fuir ! Cela a été horrible ! Allons ! Dépêchons ! Il faut fuir !... » A ce moment, et comme elle attachait le manteau de Roselys, le bruit de la porte s'ouvrant frappa son cerveau comme un fracas de tonnerre. Dans la même seconde, elle fut debout, face à la porte, les lèvres entre les dents jusqu'au sang pour ne pas crier, et, couvrant de son corps, cachant le fauteuil au fond duquel elle avait rejeté l'enfant...
1590. À Rome, Fausta, après avoir mis au monde le fils de Pardaillan, bénéficie de la grâce du pape Sixte Quint, qui se prépare à intervenir auprès du roi d'Espagne Philippe II dans le conflit qui l'oppose à Henri IV roi de France. Fausta est investie d'une mission auprès de Philippe II : lui faire part d'un document secret par lequel le roi de France Henri III reconnaissait formellement Philippe II comme son successeur légitime sur le trône de France. En France, le chevalier de Pardaillan est investi par Henri IV, absorbé par le siège de Paris, d'une double mission : déjouer les manoeuvres de Fausta et obtenir de Philippe II la reconnaissance de la légitimité d'Henri de Navarre comme roi de France. Pardaillan et Fausta s'affrontent à Séville. Pardaillan est aidé dans sa lutte par Cervantès, qui reconnaît en lui le vrai Don Quichotte. Sortira-il vivant des traquenard tendus par le Grand Inquisiteur Don Espinoza et Fausta?
Au temps de François Ier, Gerfaut de Croixmart est lancé dans une impitoyable chasse aux sorcières. Sa fille Marie est amoureuse de Renaud qui le lui rend bien ; mais ce jeune homme plein d'avenir est le fils d'une puissante sorcière.
Un jour, Marie se fait prédire l'avenir par la mère de Renaud : Croixmart doit impérativement se barricader chez lui, où il mourra de la plus tragique des manières. Croyant bien faire, Marie court prévenir son père, mais celui-ci organise un bûcher sur la place publique. Bientôt, une épaisse fumée noire s'élève au dessus des maisons. La mère de Renaud brûle dans d'atroces souffrances. Renaud, encore jeune mais déjà doué de pouvoirs magiques considérables, promet d'éliminer l'assassin de sa mère... Ainsi émergera Nostradamus.
De par son imagination fertile et ses recherches historiques, Michel Zévaco se fait connaître comme le successeur d'Alexandre Dumas. Zévaco dresse le portrait d'une France en pleine guerre de religion, et, au travers d'un roman riche en action, laisse transparaître ses convictions aux tendances libertaires.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l'État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».
Le Classcompilé n° 68 contient 29 romans de Michel Zévaco, dont la série des Pardaillan.
Michel Zévaco, né à Ajaccio le 1er février 1860 et mort à Eaubonne (Seine-et-Oise) le 8 août 1918, est un journaliste anarchiste et écrivain français, auteur de romans populaires, notamment de la série de cape et d'épée Les Pardaillan. C'est l'oncle du peintre Xavier Zevaco. (Wikip.)
Version 1.4
CONTENU DU VOLUME :
LES PARDAILLAN : LES PARDAILLAN o L'ÉPOPÉE D'AMOUR o LA FAUSTA o FAUSTA VAINCUE o PARDAILLAN ET FAUSTA o LES AMOURS DU CHICO o LE FILS DE PARDAILLAN I o LE FILS DE PARDAILLAN II o LA FIN DE PARDAILLAN o LA FIN DE FAUSTA
AUTRES OEUVRES : LA MARQUISE DE POMPADOUR o LE RIVAL DU ROI o BORGIA ! (1900) o TRIBOULET o LA COUR DES MIRACLES o LE PONT DES SOUPIRS o LES AMANTS DE VENISE o FLEURS DE PARIS (1904) o BURIDAN, LE HÉROS DE LA TOUR DE NESLE (1905) o LA REINE SANGLANTE (1905) o LE CAPITAN (1906) o NOSTRADAMUS (1907) o L'HÉROÏNE (1908) o L'HÔTEL SAINT-POL o JEAN SANS PEUR o DON JUAN (1916) o LE ROI AMOUREUX (1916) o LE PRÉ-AUX-CLERCS (1919) o FIORINDA-LA-BELLE (1919)
Les livrels de lci-eBooks sont des compilations d'oeuvres appartenant au domaine public : les textes d'un même auteur sont regroupés dans un eBook à la mise en page soignée, pour la plus grande commodité du lecteur. On trouvera le catalogue sur le site de l'éditeur.
Don Sanche d'Ulloa a succombé sous l'épée de don Juan après avoir voulu venger le suicide de sa fille, Reyna-Christa. Léonor, dernier membre en vie de la famille d'Ulloa, rêve à son tour de venger la mort de son père et celle de sa soeur bien aimée. Don Juan doit périr une bonne fois pour toute...
Mais, seule, elle ne parviendra qu'à s'attirer la rapière du séducteur. Heureusement, Clother de Ponthus, un homme en quête de son passé, croise la route de Léonor et défendra la jeune femme au péril de sa vie.
Suite de « Don Juan », ce roman de cape et d'épée aux teintes historique dresse le tableau de la France de François Ier. Maître du genre, Michel Zévaco se surpasse et érige là un chef-d'oeuvre flamboyant.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l'État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».
Nul ne sait où Fausta a dissimulé le trésor qu'elle a laissé derrière elle en quittant la France. On dit qu'il contient une somme de dix millions qu'elle destine à son fils, Jehan de Pardaillan. Seulement, Jean et son fils ne pourront retrouver et réclamer leur dû sans dégainer leur rapière.
Henri IV pourrait s'en servir pour faire la guerre à l'Allemagne ; Concini pour devenir roi ; et le pape pour se défendre contre l'Espagne.
Enfin, Pardaillan père et fils se sont retrouvés, et, plus que jamais, ils auront besoin l'un de l'autre pour démonter des complots toujours plus ambitieux et cruels. Michel Zévaco laisse entrevoir ses convictions politiques à travers le portrait d'un monde cupide où la seule valeur qui vaille est l'honneur. La lignée des Pardaillan ne s'éteindra jamais !
Combattant hors-pair, inflexible et intelligent, Pardaillan est un héro d'exception. Il n'abandonne jamais face au danger, sait user de son épée quand il le faut, et défend toujours les bonnes causes. Tel est le personnage principal d'une série intemporelle ; un héro dont chaque génération éprouve le besoin.
En digne successeur d'Alexandre Dumas, Michel Zévaco offre dix tomes remarquables, partagés en cinq cycles. Romans de cape et d'épée riches en péripéties, mais aussi coulisses de l'Histoire et fresques des convictions libertaires de son auteur, la série est encore aujourd'hui une épopée à ne pas manquer.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l'État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».
Cette compilation est composée des histoires suivantes :
Les Pardaillan
L'Épopée d'amour
La Fausta
Fausta Vaincue
Pardaillan et Fausta
Les Amours du Chico
Le Fils de Pardaillan
Le Trésor de Fausta
La Fin de Pardaillan
La Fin de Fausta
Combattant hors-pair, inflexible et intelligent, Pardaillan est un héros d'exception. Il n'abandonne jamais face au danger, sait user de son épée quand il le faut, et défend toujours les bonnes causes. Tel est le personnage principal d'une série intemporelle ; un héros dont chaque génération éprouve le besoin.
En digne successeur d'Alexandre Dumas, Michel Zévaco offre dix tomes remarquables, partagés en cinq cycles. Romans de cape et d'épée riches en péripéties, mais aussi coulisses de l'Histoire et fresques des convictions libertaires de son auteur, la série est encore aujourd'hui une épopée à ne pas manquer.
Michel Zévaco (1860-1918) est un écrivain et journaliste né en Corse, connu pour ses romans feuilletons de cape et d'épée. Attiré par la littérature, il devient secrétaire de rédaction dans un journal révolutionnaire dirigé par Jules Roques. Il se fait rapidement connaître comme étant anarchiste. Suite à ses propos considérés par l'État comme virulents, il est condamné à la prison plusieurs fois dans sa carrière journalistique. En 1900 il devient écrivain à part entière. Il débute avec le roman-feuilleton « Borgia ! » publié dans le journal de Jean Jaurès, puis devient feuilletoniste attitré de « Le Matin » aux côtés de « Gaston Leroux », dans lequel il publie ses romans les plus populaires dont « Le Capitan » et la série des « Pardaillan ».
Un jeune noble de province parvient à déjouer les complots de Concini et à sauver le jeune roi Louis XIII. Roman de cape et d'épée, plein de rebondissements, avec l'indispensable histoire d'amour propre au genre.